C’est avec stupéfaction que nous avons appris l’engagement d’une procédure disciplinaire à l’encontre de notre élu Adel AMARA en vue de sa révocation de la fonction publique. Nous rappelons que la révocation est la sanction la plus grave puisqu’elle entraine la perte à vie de la qualité de fonctionnaire pour la personne concernée.
Cette procédure est initiée par Laurent JEANNE, maire de droite de Champigny-sur-Marne, conseiller régional proche de Valérie PECRESSE et conseiller départemental suppléant de Catherine MUSSOTTE-GUEDJ, qui siège dans le groupe les Républicains Libres et Indépendants au côté de Jacques-Alain BENISTI, maire de Villiers-sur-Marne. Nous ne rentrerons pas dans le fond du dossier car Adel AMARA présentera en temps voulu au Centre Intercommunal de Gestion (CIG) les éléments qui le disculperont des griefs qui lui sont reprochés.
Toutefois les faits reprochés, les personnes impliquées et la disproportion de la sanction envisagée ne font aucun doute sur les motivations bassement politiciennes d’une procédure disciplinaire qui ne répond qu’à un seul objectif : réprimer un engagement social et politique au service des villiérains et des val-de-marnais. Dans une société démocratique, on ne s’attaque pas à ses opposants politiques en leur faisant perdre leur travail, mais on exprime ses désaccords par le débat, sur le terrain des idées.
Pour l’heure et sans porter d’accusation, le CIG présidé par Jacques Alain BENISTI devra statuer sur la révocation de son opposant Adel AMARA, ce qui apporte un caractère singulier, inédit et pour le moins cocasse à cette affaire.
Il est évident que nous apportons un soutien sans faille à notre élu villiérain qui sortira sans aucun doute vainqueur de cette affaire.
