La grande famille citoyenne Villiers à Venir s’agrandit. En effet, deux nouvelles composantes villiéraines viennent d’intégrer notre mouvement : Europe Écologie les Verts (EELV) et le Collectif Citoyen pour Villiers.
À l’origine de ce ralliement, des discussions débutées il y a de cela plusieurs mois avec nos amis écologistes. En effet, lors de l’inauguration de notre local, Jacques Grenier, porte-parole départemental d’EELV, s’était déjà exprimé sur les idées communes que nous partagions. En octobre dernier, c’est dans un communiqué officiel que nos amis étaient revenus sur les motivations de nos échanges, allant dans le sens d’une écologie concrète et populaire, de l’exigence d’un service public de proximité de qualité, et d’une citoyenneté revigorée par le biais d’une vie démocratique locale plus transparente, horizontale et participative.
Nos amis étaient revenus sur les motivations de nos échanges, allant dans le sens d’une écologie concrète et populaire, de l’exigence d’un service public de proximité de qualité, et d’une citoyenneté revigorée par le biais d’une vie démocratique locale plus transparente, horizontale et participative.
Le ralliement d’EELV et du Collectif Citoyen pour Villiers au mouvement Villiers à Venir est la suite logique et le dénouement de ces discussions. Mais plus qu’un accord sur les idées, notre réunion est surtout le signe d’un accord sur une méthode qui a fait ses preuves : participation directe des villiérains à travers notre appel à contribution citoyenne en ligne, nos permanences et nos 7 réunions publiques ; écologie réelle par la mise à disposition paniers bio, locaux et solidaires à notre local de campagne ; collégialité des prises de décision à l’intérieur du mouvement et ouverture à toutes et à tous.
Nous pouvons affirmer pour conclure que la mise en commun de nos forces, au service de l’avenir de Villiers-sur-Marne, indique de manière explicite ce qui est notre désir profond et sincère. L’unité partout, la division nulle-part ; l’écologie toujours, l’indifférence jamais ; la démocratie tout le temps, la dépossession des citoyens par une minorité disparue.